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Les livres de Claire et Marc Héber-Suffrin

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Échangeons nos savoirs, Claire Héber-Suffrin, Avec Sophie Bolo (Journaliste), Paris, France, Syros (La Découverte), 2001.

Table des matières :

Enseigner pour apprendre

Repenser l’acte d’apprendre

Casser le cercle des échecs au profit de celui de la réussite.

Emploi, formation, développement, soyons acteurs de nos trajectoires

La réciprocité plutôt que l’assistance

Au social, citoyens !

Créer et faire vivre un réseau.

  

Les savoirs, la réciprocité et le citoyen, Claire Héber-Suffrin, 1998,  Paris, France, Desclée de Brouwer.

Préface de Philippe Meirieu

Quelques titres de chapitres 

De l’école à l’école

École publique ? École pour tous ? École par tous ?

Tout est intéressant pourvu qu’on le regarde assez longtemps 

Rendre ensemble possibles autoformation et formation réciproque

Nore de lecture

  

Appels aux intelligences, Claire et Marc Héber-Suffrin,   Vigneux, France, Matrice,1988.

Tout l’ouvrage donne des clefs pour faire vivre et penser la formation réciproque à l’école, et au chapitre IX, la question est posée : Que faire de l’école ? Quand la circulation des savoirs intéresse les enseignants ! avec, en exergue, un appui de Gaston Bachelard : "Voici, d’après nous, le principe fondamental de l’attitude objective : qui est enseigné doit enseigner. Une instruction qu’on reçoit sans la transmettre forme des esprits sans dynamisme, sans autocritique".

Réciprocité et réseau en formation, Claire Héber-Suffrin et Gaston Pineau (Coordination), Bernadette Aumont, Dominique Bachelart, Claudine Bolla-Scotto, Brigitte Chapelain, Henryane de Chaponay, Régis Crosnier, Jacqueline Culletto, Noël Denoyel, Françoise Deroy-Pineau, Nicole Desgroppes, Pascal Galvani, Bernard Ginisty, André Giordan, Daniel Hameline, Marc Héber-Suffrin, Marie-Ange Héber-Suffrin Chatagnon, Françoise Heinrich, Diama Kébé, Jean-Marie Labelle, Yvette Moulin, Monique Prin, Valérie Renard, Dominique Temple, 2000,  Arcueil, France, Education Permanente, n° 144.

  

Échanger des savoirs à l’école, Abécédaire pour la réflexion et l’action, Claire Héber-Suffrin (coordination) et Christian Billères, Jacqueline Culetto, Nicole Desgroppes, Françoise Heinrich, Marie-Josèphe Hilaire, Marie-Michèle Hilaire, Monique Prin, Valérie Rouaud-Renard, avec Sophie Bolo, 2004, Chronique sociale.

Extrait de la quatrième de couverture :

Les auteurs de cet ouvrage s’interrogent et apportent des réponses forgées par une solide pratique professionnelle, d’instituteurs ou professeurs d’école, de professeurs de collège et lycée d’enseignement général et professionnel, de conseillers pédagogiques, d’inspecteurs, d’assistante sociale scolaire ; mais aussi de plus de dix ans de démarches d’échanges réciproques de savoirs, dans les classes, dans l’école, autour de l’école, dans la formation continue des enseignants.

Construction de cet ouvrage 

En introduction, une préface de Philippe Meirieu, une introduction par la journaliste qui, pendant trois ans, a accompagné les auteurs, une introduction et une présentation rapide de leur identité professionnelle par les auteurs de l’ouvrage.

Une première partie sous forme d’un Abécédaire qui propose des analyses, des questionnements, des expériences, des outils de mises en œuvre, sur lesquels peuvent s’appuyer ceux et celles qui sont intéressés par cette démarche de Réseaux d’échanges réciproques de savoirs.

Une deuxième partie faite de 17 fiches techniques.

Une conclusion autour des “ Valeurs des RERS ”.

On trouvera en annexe un tableau synoptique de l’histoire de ces réseaux.

  

Partager les savoirs, construire le lien, Claire Héber-Suffrin (direction), Lyon, France, Chronique sociale, 2001. Ouvrage réalisé à partir du Colloque des RERS à Evry, en 1996.


Préface : Michel Serres

Table des matières

Introductions Avelino Ferreira (Parlez à moi, pas de moi) et Claire Héber-Suffrin.

Première partie, Partager des savoirs : des lectures transversales, articles de théoriciens de l’éducation et de la pédagogie 

Articles de Bernard Ginisty, André de Peretti, Dominique Temple, Jeremy Ahearne, Christian Leray, Véronique Nahoum-Grappe, André Giordan, Hélène Trocmé-Fabre, Patricia Portelli, Jean-Pierre Worms.

Deuxième partie : Partager les savoirs à l’école.

Articles de Valérie Renard, Françoise Heinrich, jacqueline Culetto, Nicole Desgroppes, Bernadette Aumont, Marie-Michèle Hilaire, Christiane Dubourg, Jean Le Gal, Rolande et Raymond Millot.

Troisième partie : Partager des savoirs en formation.

Articles de Gaston Pineau, Philippe Carré, Nicole Desgroppes, Jacques Perriault, Bertrand Schwartz, Eugénie Thiery.

Quatrième partie : Partager des savoirs et faire société

Premier chapitre, Apprendre et faire société dans la vie quotidienne, quelle aventure !

Avec Eliane de la Marlière, Marie-Hélène Biguier et Pierre Tritz, Geneviève Vacheret, Marc et Bernadette Lengrand, Denise Reggazzoni, Hervé de Belloy, Julie Suchard, Michèle Monjet, France Broutin, Mélanie Hutchison, Nathalie Berlu.

Deuxième chapitre, Les réseaux de savoirs, acteurs de citoyenneté et l’aventure continue. Avec Henryane de Chaponay, Pascal Dorival, Jean Marquet, Claire Héber-Suffrin, Yvette Moulin, Bernard Bier, Elisabeth Heutte.

Troisième chapitre, Changer les métiers du « social », aventures professionnelles.

Avec Yvette Moulin, Marie-Hélène Biguier, Françoise Lachenal, Françoise Codiasse, Evelyne Rossignol, Karim Ariri.

Cinquième partie : Organiser le partage des savoirs

Articles de Pascal Chatagnon, Jilali El Mrabet, Françoise Raynaud, Alice Couzinet, Marie-Eugènie Aznaran, Les réseaux du Loiret, Céline Tremblay, Ernesto Baquer.

Conclusion : Claire Héber-Suffrin

Postface : Michel Rocard

Bibliographie

  

Pratiquer la formation réciproque à l’école - Quand l’échange réciproque des savoirs est au centre du système scolaire, Claire Héber-Suffrin (coordination) et Christian Billères, Jacqueline Culetto, Nicole Desgroppes, Françoise Heinrich, Marie-Josèphe Hilaire, Marie-Michèle Hilaire, Monique Prin, Valérie Rouaud-Renard, avec Sophie Bolo, 2005, Chronique sociale. Préface de Jacques Pain

Quatrième de couverture; Quand les échanges réciproques de savoirs sont au centre du système scolaire. « Formidable trouvaille pédagogique, véritable projet pour une société intelligente et solidaire (Philippe Meirieu) », la démarche pédagogique des échanges réciproques de savoirs postule que chacun est riche de savoirs qui peuvent intéresser les autres, et que tout le monde est capable d’apprendre et de transmettre des savoirs. Et ce postulat va faire bouger tout le système : élèves, enseignants, parents, savoirs, valeurs. Les élèves sont plus actifs, et bientôt, ils sont plus motivés, ils se questionnent, ils découvrent qu’un apprentissage réussi exige des efforts et oblige à affronter des frustrations, ils grandissent en estime d’eux-mêmes et dans l’estime de leurs condisciples. Ils grandissent dans l’estime des enseignants, ils découvrent que chaque cerveau apprend à sa façon, ils associent leurs parents à des actions collectives réussies et ils expérimentent que le plaisir a place au cœur des apprentissages. Quant aux savoirs repérés dans leur extrême diversité, classiquement scolaires ou non scolaires, ils servent tous à venir renforcer les chances de l’apprentissage réussi des disciplines scolaires. Quant aux enseignants, les voilà moins seuls, plus reliés, passionnés et créatifs…

Ici, des acteurs de l’école racontent leurs itinéraires professionnels (2ème partie) et explicitent leur conception de la formation, du savoir, de leur métier, de la société et de l’école (3ème partie). Ils montrent en quoi ils ont le sentiment de construire, en cohérence avec des choix pédagogiques, éthiques et politiques, un monde où l’on choisit la solidarité et la formation réciproque plutôt que la compétition ; le partage plutôt que la prédation ; l’humain, son histoire de vie et sa dignité au cœur du système, comme ayant la primauté absolue, plutôt que l’utilisation des humains pour servir les pouvoirs. Un monde où la culture et les savoirs sont considérés comme des biens communs, créateurs de sens et d’émancipation, et non comme des marchandises, ou des outils d’exclusion.

Les dix auteurs de cet ouvrage ont une solide pratique professionnelle, d’instituteurs ou professeurs d’école, de professeurs de collège et lycée d’enseignement général et professionnel, de conseillers pédagogiques, d’inspecteurs, d’assistante sociale scolaire et ils ont plus de dix ans d’expériences de la démarches des échanges réciproques de savoirs, dans les cours, dans les classes, dans l’école, autour de l’école et dans la formation continue des enseignants.

  

Quand l’Université et la Formation réciproque se croisent. Histoires singulières et histoire collective de formation, Claire Héber-Suffrin (coordination), Josiane Blanc, Sylvie Briot,  Claude Cazenabe,  Sophie Chaigne, Chiristtaine Coulon, Marie-Hélène Cussac-Da Costa, Anne-Christine Domingues, Marie-Thérèse Dugué, Pasacl Galvani, Florence Héber-Suffrin, Ghislaine Hongrois-Sauvaget, Mélanie Hutchison, Marie-Odile  Leprince, Gaston Pineau, Sophie Robin, Didi Van de Wiele, Françoise Zoroddu, 2004, L’Harmattan - Note de lecture  :

Où l’on voit que la formation réciproque peut enrichir aussi l’université. Extrait de la quatrième de couverture : Les questionnements pédagogiques actuels sont passionnants et difficiles. […] Au cœur de ces questionnements, cet ouvrage rend compte d’une formation dynamisée par une alliance contractuelle entre le Mouvement des réseaux d’échanges réciproques de savoirs et l’Université de Tours. Par ses pistes de pratiques et de réflexions, il révèle une transition possible où l’apprentissage coopératif en réseaux, techniques mais d’abord sociaux, est pensé, construit, enrichi au service de tous et de chacun.

Table des matières succincte

Première partie : Genèse d’une formation, avec Gaston Pineau et Claire Héber-Suffrin

Deuxième partie : Une aventure vitale d’un point de vue culturelle

Avec Mélanie Hutchison, Claude Cazenabe, Christiane Coulon, Didi Van de Wiele.

Troisième partie : Une aventure vitale d’un point de vue sociopolitique

Avec Josiane Blanc, Marie-Hélène Cussac, Anne-Christine Domingues, Florence Héber-Suffrin.

Quatrième partie : une aventure vitale du point de vue de la formation

Avec Sylvie Briot, Sophie Chaigne, Marie-Thérèse Dugué, Ghislaine Hongrois-Sauvaget, Marie-Odile Leprince et Sophie Robin.

Cinquième parties : transversalités 


  

Des savoirs en abondance, Claire Héber-Suffrin et Michel Serres de l'Académie Française, Thierry Quinqueton éditeur, 1999.

Quatrième de couverture :


Les deux textes recueillis ici ont été prononcés à l'occasion de la remise de la Légion d'Honneur à Claire Héber-Suffrin, fondatrice de ces réseaux. Dans de telles circonstances, on aurait pu craindre un discours convenu, pompeux, protocolaire... Au contraire, c'est avec chaleur et intelligence que Claire Héber-Suffrin et Michel Serres, de l'Académie Française, montrent comment on peut penser à partir de ces pratiques sociales nouvelles.

Voici à l'oeuvre cette philosophie de l'action dont chacun ressent l'urgence, des pensées entant en interactions, en échanges réciproques, avec une dynamique d'émancipation des femmes et des hommes et de transformation de la société.

L’Ecole éclatée, Claire et Marc Héber-Suffrin, (1981), 1994 (Stock), Desclée de Brouwer.

Extrait de la préface d’Edgar Morin :

« Le livre de Claire et Marc Héber-Suffrin est le récit d’une expérience pédagogique. Cette expérience est d'autant plus riche, à mes yeux, qu'elle est partie de rien, c'est-à-dire de tout. Le simple désir pédagogique d'éveiller l'esprit des enfants a conduit à une aventure/ouverture : ouvrir l'enfant suppose ouvrir le maître à l'enfant, ouvrir l'école, s'ouvrir soi-même, ouvrir l'autre, tenter d'ouvrir les portes verrouillées qui séparent les vies, dans les H.L.M., les ateliers, les bureaux, en compartiments opaques. En laissant parler la curiosité naturelle des enfants, en lui offrant satisfaction, non seulement dans des leçons ou travaux pratiques, mais dans des expériences vécues menées dans la vie sociale, Claire Héber-Suffrin a vu se constituer un réseau. Ce réseau s'impose désormais : là où il y avait des existences atomisées, des petites cellules closes, il y a un réseau d'intercommunication. L'idée de réseau est une idée clé, une idée maîtresse. Nous commençons aujourd'hui à reconnaître la vertu des organisations en réseaux, faites d'intercommunications et échanges entre individus par rapport aux organisations strictement centristes/hiérarchiques où l'instruction et les instructions découlent du centre/sommet de la hiérarchie sur les exécutants/élèves.

À mon avis, plus qu'un réseau, c'est une grande boucle qui a été formée et activée par cette expérience pédagogique. […] Une telle boucle s'est constituée, ne peut se constituer que par essais-erreurs […] Elle doit sans cesse se recommencer, c'est-à-dire être réalimentée par de la foi, de l'amitié, de la curiosité, de la communication. Elle doit pouvoir surmonter obstacles et incompréhensions qui peuvent surgir et la briser. Comme tout ce qui est vivant, elle a besoin d'autorégénération permanente. Il est certain qu'une expérience singulière, isolée, ne peut que s'étioler et mourir. Mais tout peut commencer à changer lorsque le message d'une telle expérience se transmet et se diaspore, partout où se pose le problème de l'éducation. Et alors, de nouvelles expériences peuvent s'effectuer, communiquer entre elles, constituer un réseau de réseaux, des réseaux de réseaux, et ce qui était déviance marginale devient tendance minoritaire mais active jusqu'à, peut-être, devenir la tendance principale, ce que je souhaite. »

Penser, apprendre, agir en réseaux. - Donner, recevoir, donner aussi... La réciprocité pour réussir, par Claire et Marc Héber-Suffrin 2011.

2017 : 3ème édition

Un livre pour connaître cette proposition, la mettre en oeuvre et renforcer les apprentissages et la formation tout au long de la vie.

  

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Parier sur la réciprocité - Vivre la solidarité, (Voir article Sylvain Allemand)   ,Claire Héber-Suffrin, Chantal Thouret, Nicole Desgroppes, André Vidricaire (coordinateurs), Chronique sociale, 2011. Voir article dans Humanité-Dimanche

Les effets positifs de la réciprocité sont-ils assez reconnus pour construire, "par tous - pour tous" un monde social, ouvert et solidaire, et des relations fondées sur la reconnaissance mutuelle, sur la dignité de chacun, sur les appels aux intelligences de tous, sur la création de soi par soi (qui est toujours en lien avec la création d'autrui par lui-même), et ceci pour chacun d'entre nous ? Sans doute, jamais assez !

Cet ouvrage décrit les facettes multiples de cette réciprocité si nécessaire pour que du sens émerge de nos relations. il montre combien les savoirs, s'ils sont partagés, les apprentissages, s'ils sont épanouissants et la formation, si elle est réciproque, sont puissants pour construire une réciprocité relationnelle.

Mais il dévoile aussi un secret de polichinelle ! La réciprocité formatrice (quand chacun est, à la fois, celui qui instruit autrui et celui qui apprend d'autrui) est efficace, tant au niveau des apprentissages qu'au niveau de la construction de soi et de la formation de soi. Et cette réciprocité formatrice, à son tour, contribue à construire des solidarités, des relations sociales paritaires, de l'estime de soi et de l'estime réciproque, de la citoyenneté active, de la construction coopérative du bien commun et des refus concrétisés de toutes formes d'exclusion.

Elaborés par 23 auteurs français et québécois, ce livre donne des outils pour la réflexion, la formation, la recherche et l'action.

  

Echanger les savoirs, 1992, Claire et Marc Héber-Suffrin, Desclée de Brouwer, Préface de Patrick Viveret


" [...] Ce livre est une invitation au voyage. Car apprendre est un voyage et découvrir autrui une aventure. Voyage extérieur et voyage intérieur. Car cet échange avec autrui permet aussi, comme l’écrivent Claire et Marc Héber-Suffrin, de retisser sa propre vie. » Patrick Viveret


Cet ouvrage présente la pratique des Réseaux d’échanges réciproques de savoirs et l’analyse du point de vue : des savoirs, de la médiation, de la réciprocité, du « réseau », de la citoyenneté et de la lutte contre les exclusions

  

Le Cercle des savoirs reconnus, Claire et Marc Héber-Suffrin, 1993, En collaboration avec Manuel Devillers, Desclée de Brouwer, Préface de Jacques Robin


Un ouvrage court, simple, écrit avec l’aide d’un écrivain professionnel, Manuel Devillers. En quelques pages : la genèse d’une aventure ; sa mise en route ; tous navigateurs dans les savoirs ; une éthique de la solidarité ; la citoyenneté en marche ; utopie et complexité des réseaux, ouverture pour la suite. On trouvera, en annexe, une proposition d’étapes pour démarrer un réseau.

  

L’Enfant enchanté qui devint enchanteur dans la manche d’un géant

Ce livre, en racontant l’histoire d’un enfant qui devint enchanteur dans la manche d’un géant, donne naissance à cinq autres contes initiatiques qui feront rêver petits et grands… 82 pages et 53 illustrations en couleurs

 « Ce livre est un conte philosophique, et je ne fus pas surprise d'y reconnaître une évocation imagée du "Petit Prince" auquel il me fit d'emblée penser. […] Il transmet le sens des autres, le sens de la vie... [Les enfants qui le liront] auront aussi la chance d'accéder au sens du texte, à toutes les évocations littéraires qu'il offre, ce qui n’est pas donné à tous les enfants, malheureusement... Ce livre sera peut-être aussi, finalement, un conte littéraire destiné à tous les parents [pour les aider à transmettre] les repères du "Bien vivre ensemble" […]. Quant au texte, il est bourré de références de la littérature enfantine qui peuvent alimenter le bain de langage nécessaire à un enfant pour qu’il puisse développer sa pensée. Car enfin, plus on a de mots, plus on pense en nuances ! Voilà un beau texte, assurément... » Par Monique Pommeret, orthophoniste

La force de la réciprocité pour apprendre a déjà été illustrée dans des classes élémentaires, au collège, au collège, au lycée, en université… Sur différents territoires de la vie citoyenne : villes et quartiers, cantons et villages, ici en France et ailleurs… Dans le champ de la formation professionnelle, par exemple entre enseignants, celui de la formation en entreprises, dans la formation réciproque et solidaire entre collectifs… C’est à quatre mains que les auteurs de cet ouvrage donnent à voir les différentes étapes de ce processus de réciprocité, sa cohérence au regard du rôle de l’école maternelle dans notre système éducatif et notre société et ses effets positifs en termes d’apprentissages : où l’on apprend des connaissances et des savoir-faire mais aussi la coopération et la solidarité, la responsabilité et le plaisir d’apprendre avec et grâce aux autres. Et la démonstration est éclatante : ne jamais sous-estimer les « petites personnes » de l’école maternelle : elles peuvent apprendre à explorer leurs savoirs et leurs manques, à aider les autres à réussir, à réfléchir sur les apprentissages… 2019

Cet ouvrage, composé d’une soixantaine de fiches-outils, permet de s’engager dans la démarche d'Apprendre par la réciprocité, de l’expérimenter en l’adaptant au terrain choisi, de l’analyser et de l’enrichir.


Ces fiches sont proposées par des enseignants, des formateurs de la formation professionnelle et de la formation continue en institutions et en entreprises, des animateurs de réseaux d'échanges réciproques de savoirs, des formateurs dans le Mouvement français des Réseaux d'échanges réciproques de savoirs, association pédagogique, agréée d'Education populaire et organisme de formation professionnelle. 2016

  

Cet ouvrage réaffirme la place centrale que peut tenir l'éducation populaire pour répondre à ces questionnements-clés : comment être auteurs individuellement et collectivement d'une pensée permettant de comprendre, créer, agir avec clarté, cohérence, pertinence ?


En effet, l'éducation populaire vise à construire, avec chacun, un peuple de démocrates constructeurs de démocratie comme pratique de vie commune apaisée et soucieuse de justice.

Elle est une démarche et un projet par lesquels un groupe humain se propose et se donne les moyens de s'instruire et de s'éduquer "par tous" et "pour tous".


Cet ouvrage propose douze entrées et une méthode pour revivifier l'éducation populaire et sa place au coeur des pratiques sociales.

Cet ouvrage s’appuie sur la description d’une réalité riche au quotidien (la réciprocité, nous l’avons tous expérimenté ! Nous avons tous vérifié que ça marche ! Et nous ne savons pas en tirer les changements nécessaires dans nos institutions et nos façons de faire et d’être). Des expériences pédagogiques efficaces, l’école, premier lieu d’expérimentation, des pratiques, des recherches et des productions, celles des Réseaux d’échanges réciproques de savoirs® et des témoignages impressionnants sur la réciprocité en actes.

Les fondements pédagogiques sous-jacents sont alors développés. Le cheminement personnel pour offrir et demander des savoirs est un cheminement d’apprentissage dans les deux rôles. Une ingénierie coopérative favorise la réussite des apprentissages. Un modèle théorique permet de réinterroger les pratiques et de les orienter. Cela ne va pas sans des modalités pédagogiques à privilégier. Développer des compétences psychosociales, réinventer ensemble les démarches pédagogiques, transformer les métiers de l’éducation et de la formation. 2016

Trois classes ouvertes et coopératives à Orly. Racontées par l’institutrice (Claire Héber-Suffrin) et trente et un de ses anciens élèves, quatre de leurs parents, des enseignants du primaire et du collège, des intervenants et membres du réseau d’échanges de connaissances d’alors. Des élèves qui affirment avoir expérimenté : le plaisir d’aller à l’école, le désir d’apprendre, le bonheur de coopérer, la chance de s’entraider, l’efficacité d’enseigner à leur tour… Une pratique pédagogique innovante qui peut largement inspirer les nécessaires changements de l’Ecole, de la pédagogie, du métier d’élève et du métier d’enseignant, de la formation des enseignants, des liens avec le territoire de vie proche et le monde de l’éducation populaire. Une évaluation rare : environ quarante ans plus tard, des adultes responsables indiquent ce qu’a été pour eux cette expérience et ce qu’elle leur a apporté. On comprend, grâce à cet ouvrage, vivant, émouvant, « unique en son genre », en quoi ces classes sont les germes, les racines, les fondements, les fondations et l’origine des Réseaux d’échanges réciproques de savoirs : une pratique fondée sur la réciprocité relationnelle et pédagogique, qui s’est développée en France et dans d’autres pays. On peut alors se projeter dans une société où l’Ecole « ouverte » serait dynamisée par la richesse de son environnement social et culturel, dans le village, dans le canton, dans le quartier, dans la ville ; et où les institutions d’éducation – l’Ecole, l’Université… - pourraient contribuer au développement des formations tout au long de la vie et dans toutes les situations de la vie, et ceci « pour tous », « par tous ». Allons-nous choisir de développer la coopération plutôt que la compétition ? De forger des accès pour tous à tous les savoirs ? De considérer chacun de nos concitoyens comme essentiel pour la société ? 2013

Cet ouvrage  essaie de répondre à la question : En quoi ces Réseaux sont-ils d’actualité ?

1. Dans un premier temps, les auteurs présentent ces Réseaux, puis en font un historique en référence à des questions qui ont surgi, les unes après les autres, et qui ont évolué, dans nos sociétés sur cette période de 38 ans. Huit périodes sont considérées ici. On voit ainsi comment les Réseaux se sont construits en symbiose et en réaction avec l’évolution de la société et son actualité et comment ils se situent dans le contexte social et culturel.

2. Ensuite est proposé un énoncé des questions d’actualité prises en charge par ces Réseaux, questions sociales, culturelles, pédagogiques, politiques et économiques.

3. Ces réseaux sont alors décrits comme développant une présence authentique à soi, à autrui, au monde. Est évoquée la question de la présence comme plénitude, intensité, densité d’appréhension des instants, du présent, le présent étant ici ce que nous nous donnons à vivre : la présence à soi, formatrice de soi, la présence à autrui, réciproquement formatrice et la présence au monde que l'on forme et qui nous forme.

4. Leur dynamique de construction coopérative ainsi que leurs liens avec la création collective en font des projets bien actuels : en effet, ce sont des citoyens présents dans ce monde, qui les créent.

5. Enfin, ils sont considérés comme actuels parce que fondés sur une permanence de choix : ils sont témoins et créateurs de valeurs que les auteurs regardent comme « universelles » et permanentes.

La conclusion aborde l’importance d'une approche transversale pour penser, apprendre et agir dans la durée.

Cet ouvrage veut illustrer le fait que cette pratique est une pratique réactive, qui a saisi, aussi souvent que possible, les possibilités de réactions pratiques offertes par les questions de société. Cette saisie s’est faite en particulier en ce qui concerne les conditions et les exigences de l’apprentissage, celles de la solidarité, et celles des liens entre les savoirs et les relations.

(2009) 2012

  

Au lycée au début de son aventure, Manon a l’enthousiasme de la jeunesse, une étonnante capacité de rêve et une formidable facilité à se faire des amis. Voilà que de mystérieuses enveloppes (sont-elles vraiment vides ?) vont l’entraîner dans un combat inattendu. Pour ne pas être perdue d’avance tant sont monstrueux les adversaires à affronter, cette lutte va lui demander de commencer par se chercher des alliées : des jeunes filles de différents coins du monde, comme elle conscientes qu’elles doivent agir et lucides sur leur faiblesse face aux plus grands prédateurs que la terre ait jamais portés ; des adultes résistants à la folie du profit à tout prix ; des associations engagées pour la vie sur la terre… Le lecteur pourra admirer leur imagination, leur ruse, leur fantaisie. Ceci est une histoire vraie : elle dit la nécessité de penser ensemble lorsque l’enjeu est si important. Elle dit l’incroyable force de l’amitié. Elle dit la nécessité de la ruse intelligente pour affronter les démons qui menacent la planète. Et ceci est aussi un conte, une sorte de « conte-pouvoir » : il dit le besoin que nous avons de l’imaginaire pour avoir des chances de changer la réalité ! Il sera question ici d’oiseaux bleus, d’ibis égyptien, de clochette amoureuse, de détective charmant, de monstres, de mondes virtuels… 2020